Les articles de journaux passent. Les condamnations s’accumulent. Les arrêtés sont violés. Les prairies toujours contaminées …
Mais surtout des riverains continuent à vivre sous les vents d’une usine Aprochim qui les broie tous les jours un peu plus.
« Lettre ouverte de désespoir » de Monsieur et Madame Moreau